jeudi 3 avril 2008

CHÈRE NICKYLILAS



Je m'étais imposé de ne pas raconter ma vie dans ce blog, sauf si cela avait un rapport avec l'écriture ou la publication d'un de mes romans. Je m'étais également imposé de ne pas donner mon avis sur l'actualité, quelle qu'elle soit. Mais le message si sympathique de Nickylilas, que je remercie bien, au passage, m'inspire, et je passe outre. Car il y a bien un fait, dans l'actualité récente, qui m'a marqué, et qui mérite que l'on s'y attarde un peu... La reformation du Suprême NTM. Petit concert "intime" au Grand Journal de Denisot. J'étais moi aussi au concert d'NTM aux Eurock, c'était en 1998 je crois. Il y avait également la Foncky Family, Asian Dub, et Portis Head. Grand souvenir, et good trip, comme vous le dîtes si bien, Nicky. Je les avais revus la même année, à Strasbourg, avec le même plaisir. Enfin bref, voilà, il y a parfois de bonnes nouvelles. Prions pour qu'un nouvel album suive.

vendredi 15 février 2008

LE PROGRES



Un grand merci à Aurélien Martinez, le jeune journaliste du Progrès, qui a lu et surtout compris tous les enjeux du livre.

jeudi 31 janvier 2008

MARIANNE

Voici un court article dont je me souviendrai longtemps, puisqu'il représente le premier petit pas dans la presse nationale.

<< Il reste 150 € pour finir le mois. Que faire ? Un livre. Bad Trip, de Jacky Schwartzmann, raconte la dérive d'un homme qui fait connaissance avec les circuits de réinserstion. Il s'en sort. Et sombre. Verdict : c'était mieux au RMI ! >>

Marianne du 26 janvier au 1 février.

DISCOUNT



J'ai quelques amis intellectuels dans mon entourage proche, à commencer par Martial. L'ami intellectuel est ce type qui explique mieux que vous ce que vous avez mis en lumière dans votre roman. Martial, par exemple, m'a expliqué sa vision du Lidl, quelque chose auquel je n'avais pas pensé, mais qui me plaît bien. Le paradoxe du Lidl. D'un côté, on fait les prix les plus bas possible, en prenant très peu d'employés, payés très peu. Aucun investissement dans la décoration, ni dans l'agancement des rayons. On pose les palettes à même le sol. Autant d'économies qui visent à faire un maximum de profits. Et cette politique, que l'on peut qualifier d'ultra-capitaliste, donne pour résultat... une esthétique digne de l'ex-Union Soviétique, comme en témoignent les blouses des caissières,
<< dessinées par un couturier de l'ère stalinienne >>.
Cette idée résume parfaitement l'ouverture du roman. Merci à Martial donc !